Les 20 km de Paris se déroulent le octobre 2017 sous le signe du street art.
Crée en 1979 par l’Association Sportive et Culturelle de l’Air (ASCAIR) avec la collaboration de la Mairie de Paris et de l’Armée de l’air, les 20 km de Paris reviennent une nouvelle fois pour une édition de folie.
Pour cette édition, le street art est mis à l’honneur avec l’artiste Nebay qui a réalisé l’affiche. En effet, ce thème visuel se retrouve à tout les coins de rue avec une expansion de cette expression artistique sur les murs d’immeubles ou mobiliers urbains.
Ainsi, 4 zones d’animations street art seront présent le long du parcours (avant le 3ème km, après le 7ème km, entre le 12ème et le 13ème km et entre le 17ème et le 18ème km).
En 2016, 30 462 coureurs étaient inscrits pour 25 131 coureurs à l’arrivée, avec près de 31% de participants qui sont des femmes. Cette course a une dimension international avec plus de 110 nationalités différentes. Enfin, près de 35% des coureurs terminent cette belle course entre 1H45 et 2h.
L’entraînement
Si vous voulez participer à cette course, un minimum d’entraînement est obligatoire car pas de place à l’improvisation. Les 20 km de Paris avec Diadora proposent des entraînements réguliers en amont de la course.
Vous pouvez aussi vous entraîner en solo. Pour cela, habituer votre corps à l’endurance sans se préoccuper du chrono mais en augmentant progressivement le temps de course (1h, 1h15, 1h30, 1h45…). Deux semaines avant la course, vous devez être capable de monter à deux heures de course pour par la suite diminuer la durée d’entraînement d’ici la course du 8 octobre 2017.
Attention aussi à être bien équipé en fonction de la météo.
La course
Les 20 km de Paris sont l’occasion de parcourir la ville Paris et ses grand monuments sans se préoccuper des voitures.
Avec un départ au pied du Trocadéro, vous remonterez vers l’Arc de Triomphe, puis Bois de Boulogne sur 4km, quai de Seine, Louvres avant d’arriver enfin au pied de la Tour Eiffel.
Il faudra donc se méfier des premiers kilomètres en montée et la fatigue engendrée pour la suite du parcours.
